LA GRANGE DE LUCIE- CHAMBRES D HÔTES EN PÉRIGORD DORDOGNE
Cómo llegar y contactar
Granero con jardín en Nanteuil-Auriac-de-Bourzac que ofrece habitaciones limpias y equipadas.
La Grange de Lucie es una granja restaurada en Val de Dronne, un país de naturaleza. Su huerto resuena, según las estaciones, con el canto de las abubillas, las golondrinas o las garzas, y ofrece especialmente a los codiciosos sus cerezas, ciruelas, albaricoques, peras... Cada habitación lleva el nombre de un pájaro del jardín. Tiene su propia atmósfera, donde la madera y la piedra son omnipresentes, y tiene su propio cuarto de baño e inodoro separado.
¿Lo sabías? Esta reseña ha sido escrita por nuestros autores profesionales.
Los puntos fuertes de este establecimiento:
Opiniones de los miembros sobre LA GRANGE DE LUCIE- CHAMBRES D HÔTES EN PÉRIGORD DORDOGNE
Las calificaciones y reseñas a continuación reflejan las opiniones subjetivas de los miembros y no la opinión de The Little Witty.
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3 jours de réservations avec table d’hôtes.
Alors que ces avertissements figurent noir sur blanc sur le formulaire de réservation :
- « …le total à retenir pour l'acompte est celui du séjour, soit 180 euros, la taxe de séjour, 0,22 euro par nuit et par personne se paie à la fin du séjour, de même que les repas, selon les formules que vous aurez convenues avec nous… »
- Horaires d’accueil « :… Avant 17h, nous risquons d'être absents, après 18h, nous nous réservons le droit de disposer de(s) chambre(s)… »
- Conditions d’annulation : « …En cas de départ anticipé la totalité du séjour vous sera facturée. »
…pauvres touristes confiants, nous n’y avons pas prêtés attention ! Pourtant tous les signes de l’arnaque qui nous attendait étaient là.
Les arrhes ou acomptes s’élèvent normalement entre 25 à 30%... et non pas à la totalité du séjour comme ici !!! Détenant déjà la totalité du dit séjour, si mécontentement il y a, vous n’avez aucune échappatoire. Et attention à votre heure d’arrivée, le créneau est plus que limité.
Et ils nous ont bien fait comprendre qu’ils ont l’habitude de gérer « les litiges ».
N’espérez pas avoir de table d'hôte même si elle vous est assurée à la réservation, vous serez redirigez... ailleurs... sous divers prétextes ! Nous avons été priés d'aller manger autre part...
« Faisant parti des 3% de clients mécontents » (dixit les propriétaires !!!), nous n’avons eu droit qu’à un semblant de service. Petits déjeuners pitoyables, poubelles jamais vidées en 3 jours malgré des températures avoisinantes les 38°, chambres ni refaites, ni nettoyées. Mépris constant de la maitresse des lieux. Le dernier jour, nous sommes faits agressés verbalement, car nous avons tenu à leur manifester notre mécontentement
Trop déçus ! 3 jours de vacances de gâchés !
Le formulaire de réservation ne demande en aucun cas un acompte de la totalité du séjour, cela est vérifiable par tous. De plus, nous n’encaissons pas les acomptes, donc de 25%, mais attendons la fin du séjour et rendons généralement le chèque à nos hôtes pour établir un nouveau du montant total, avec effectivement la taxe de séjour en sus, qui s’élève tout de même à 0,22 euro par nuit et par personne de plus de 13 ans ( !).
Monsieur Terzi, son compagnon, nous a contactés en décembre en demandant expressément une table d’hôtes, condition de son séjour à la Grange De Lucie. Après négociation, car nous ne pouvons pas assurer ce service en juillet-août, nous avons accepté. Et nous a été envoyé un chèque de 180 euros, de fait, le montant du séjour(notons au passage qu’aucun, acompte n’est demandé pour les repas). Nous n’avons pas voulu ennuyer Monsieur Terzi en lui faisant envoyer un nouveau chèque de 45 euros, sachant que nous aurions le cas échéant la possibilité de régler le problème si annulation. Nous aurions dû !
La table d’hôte promise : le 14 juillet, la « méprisante » maitresse de maison a eu la mauvaise idée de perdre sa maman. Dans l’obligation d’organiser obsèques et accueil de sa famille, il lui a fallu appeler Monsieur Terzi au téléphone pour lui expliquer la situation et lui indiquer qu’à 3km se tenait un restaurant, moins cher encore que le prix que nous demandions pour la table d’hôtes. Ce dernier se montra compréhensif et acquiesça (au téléphone). Le 17, tout se passa comme convenu et donc nous pensions que la situation était comprise. Il semble qu’en fait, pas du tout.
Les horaires d’accueil : il en faut ! Et chez nous, la souplesse est de mise, contrairement à ce qui est sous entendu, nous en voulons pour preuve les accueils rendus possible dès 12h30 (les chambres sont libérables à 11h) dans le cas de mariages…
Les petits déjeuners : au choix thés, café, lait, chocolat, décaféiné, jus d’orange, pain frais, croissants, yaourts, confitures maison, beurre doux, beurre demi sel, miel, céréales… Le maximum posé sur les tables : il faut se servir son café pendant le gros de la saison, car les hôtes sont trop nombreux, Aïe !
Sur trois jours, un chambrotier n’est pas tenu de refaire les lits, simplement de veiller à la propreté de la chambre : ce qui a été fait.
Madame Pelletier a attendu donc le dernier matin pour faire un esclandre en plein petit déjeuner, d’une rare violence, pris en pleine face, et faisant fuir les autres hôtes présents à ce moment. Action-réaction, la « maitresse de maison méprisante » lui a dit son fait. Ce qui n’a pas eu l’heur de lui plaire.
Aussi s’est-elle empressée de mettre la chambre sans dessus-dessous avant de quitter les lieux, juste empêchée peut-être par l’idée d’avoir à rembourser ce qu’elle avait envie de casser, mais en bouchant l’évacuation de la douche avec les petits savons d’invités.
Il est donc facile de se rendre sur un site internet pour se venger, ce qui fut fait.
Gageons que notre réponse, et les prochains commentaires sauront rétablir une réalité bien lointaine du tableau dépeint par une personne bien peu compréhensive (« sous divers prétextes »… nous avions installé un petit reposoir pour la défunte que nous avons désinstallé pour leur rentrée d’excursion afin de ne pas les incommoder : peut-être aurions-nous dû le laisser, et déposer à côté le certificat de décès.) et osons le dire, bien méchante