Recomendado
El bar de vinos Au p'tit Bonheur es un lugar encantador de Guingamp donde los visitantes pueden degustar una selección de vinos. El bar también ofrece cenas. El bar tiene una zona al aire libre donde los huéspedes pueden sentarse y disfrutar de su bebida o comida.
¿Lo sabías? Esta reseña ha sido escrita por nuestros autores profesionales.
Los puntos fuertes de este establecimiento:
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Opiniones de los miembros sobre AU P'TIT BONHEUR
4.7/5
50 opinión
Valor para el dinero
Originalidad
Marco/Ambición
Servicio
Las calificaciones y reseñas a continuación reflejan las opiniones subjetivas de los miembros y no la opinión de The Little Witty.
Visitado en junio 2025
Rien à redire : bons verres, bonnes vibes, bon monde. Juste ce qu’il faut.
Visitado en mayo 2025
Établissement et personnel très agréable, expérience au top ! Je recommande !
Visitado en mayo 2025
Equipe très sympa et dynamique
Visitado en mayo 2025
Jusqu'à récemment, l'un des bars parmi les plus sympas du centre. David a réussi à donner une âme à cet établissement jadis anodin et dépeuplé. Mais ça, c'était avant.
Malheureusement, n’est pas David qui veut... et n’est pas patron qui peut. On peut avoir son nom sur son t-shirt, servir et prendre les clients pour des cons : ça finit quand même par se voir. Double-double facturation de verres (sur un rosé aussi bien que sur un cocktail). Quand on demande à voir le détail avant de payer, on te répond d’un air autain et condescendant qu’il faut d’abord payer pour avoir la facture. Pratique. Ensuite, il tourne rapidement les talons comme s’il partait — pas avec la classe, mais avec l’esquive. Ça sent la connerie assumée... mais pas complètement non plus, du coup. Quitte à tenter l'audace, faut assumer.
Obligé de le rappeler en pointant l’erreur. Il affirme les avoir servis. Deux fois. Soit. À ce stade, ce n’est même plus une question de boisson : sur une table à 100 euros de facture, ce n’est pas pour un rosé ou un cocktail en trop — c’est pour le principe. Le bon vieux principe, qui lui, n’était ni à la carte, ni compris dans le prix TTC.
Et je ne parle même pas de la tentative de vente forcée version terrasse chic : après avoir commandé deux grandes planches et du vin pour tout le monde, on ose demander une carafe d’eau bien fraîche. Réponse ? Plate ou pétillante ? Autre piège. Obligé de préciser que, vu ce qu’on vient de commander, une simple carafe suffira très bien. Gênant, inélégant, désagréable et discourtois... Bref, tout ce que David n'est pas.
C'était vendredi soir, belle chaleur, plein soleil. Ce même énergumène entre deux aller-retours, à l’entrée, d’une voix suffisamment forte pour qu’on l’entende sans vouloir l'écouter :
“Y’a pas assez de monde en terrasse, ça va pas couvrir, faut que ça consomme plus.”
Au mieux : maladroit.
Au pire : gênant, inélégant, désagréable et — décidément — toujours aussi discourtois.
Nous étions une table de Guingampais fidèles au projet de David. Et quand j’ai appris que, cette semaine encore, un ami avait dû réclamer une correction pour surfacturation... on s’est dit que ce n’était plus un couac, mais une stratégie.
Alors bon courage à David pour la suite de ses aventures guingampaises, dont le restaurant à côté. Je - nous - lui souhaitons le meme succès qu'au départ du P'tit Bonheur. Il y a toujours du monde en terrasse — assez, je ne sais pas, mais ce n’est certainement pas notre absence qui l’empêchera de dormir, ni de continuer à progresser. Tant mieux pour lui. Tant pis pour nous.
Il y a d’autres bars sympas, un peu plus bas en ville. Où l’eau ne se vend pas, et où ni le sourire, ni les principes ne se monnaient. Il en faut pour tous les goûts. Cette expérience n'était pas du tout à la nôtre.
Malheureusement, n’est pas David qui veut... et n’est pas patron qui peut. On peut avoir son nom sur son t-shirt, servir et prendre les clients pour des cons : ça finit quand même par se voir. Double-double facturation de verres (sur un rosé aussi bien que sur un cocktail). Quand on demande à voir le détail avant de payer, on te répond d’un air autain et condescendant qu’il faut d’abord payer pour avoir la facture. Pratique. Ensuite, il tourne rapidement les talons comme s’il partait — pas avec la classe, mais avec l’esquive. Ça sent la connerie assumée... mais pas complètement non plus, du coup. Quitte à tenter l'audace, faut assumer.
Obligé de le rappeler en pointant l’erreur. Il affirme les avoir servis. Deux fois. Soit. À ce stade, ce n’est même plus une question de boisson : sur une table à 100 euros de facture, ce n’est pas pour un rosé ou un cocktail en trop — c’est pour le principe. Le bon vieux principe, qui lui, n’était ni à la carte, ni compris dans le prix TTC.
Et je ne parle même pas de la tentative de vente forcée version terrasse chic : après avoir commandé deux grandes planches et du vin pour tout le monde, on ose demander une carafe d’eau bien fraîche. Réponse ? Plate ou pétillante ? Autre piège. Obligé de préciser que, vu ce qu’on vient de commander, une simple carafe suffira très bien. Gênant, inélégant, désagréable et discourtois... Bref, tout ce que David n'est pas.
C'était vendredi soir, belle chaleur, plein soleil. Ce même énergumène entre deux aller-retours, à l’entrée, d’une voix suffisamment forte pour qu’on l’entende sans vouloir l'écouter :
“Y’a pas assez de monde en terrasse, ça va pas couvrir, faut que ça consomme plus.”
Au mieux : maladroit.
Au pire : gênant, inélégant, désagréable et — décidément — toujours aussi discourtois.
Nous étions une table de Guingampais fidèles au projet de David. Et quand j’ai appris que, cette semaine encore, un ami avait dû réclamer une correction pour surfacturation... on s’est dit que ce n’était plus un couac, mais une stratégie.
Alors bon courage à David pour la suite de ses aventures guingampaises, dont le restaurant à côté. Je - nous - lui souhaitons le meme succès qu'au départ du P'tit Bonheur. Il y a toujours du monde en terrasse — assez, je ne sais pas, mais ce n’est certainement pas notre absence qui l’empêchera de dormir, ni de continuer à progresser. Tant mieux pour lui. Tant pis pour nous.
Il y a d’autres bars sympas, un peu plus bas en ville. Où l’eau ne se vend pas, et où ni le sourire, ni les principes ne se monnaient. Il en faut pour tous les goûts. Cette expérience n'était pas du tout à la nôtre.
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Tout d’abord, le matin pour boire un très bon café ou bien comme ma femme un délicieux chocolat chaud ( avec du vrai lait breton !). Une ambiance calme, cosy presque studieuse mais très reposante pour lire et discuter. Le service est impeccable et ce que j’apprécie c’est que chaque serveur « installe » son ambiance. Une fois se fut le patron qui était là qui est quelqu’un de farceur, volubile mais très agréable. Et dernièrement j’ai été servi par un jeune homme crâne rasé ( pas de jugement je suis chauve) qui est discret mais au demeurant très amicale et facile de discussion et par un jolie jeune homme brun très amicale et d’une rare efficacité, ma femme l’apprécie beaucoup, j’en serai presque jaloux même après 40 ans de mariage!
Le soir l’ambiance change et l’équipe arrive à installer une ambiance détendue, marrante si je puis dire. Service très efficace malgré le monde surtout avec le beau temps, produits sur les planches frais et local et on en a pour notre argent !! Vins, bières de choix et cocktails délicieux ! Ma femme adore votre sex and the beach, toujours bien dosé et frais.
Je tiens surtout à souligner le niveau de compétences de l’équipe. J’ai été servi récemment par un jeune homme au teint mate qui a été d’une gentillesse et d’un contact humain qui devrait etre source d’inspiration pour beaucoup de Français. Les autres fois ça a été des jeunes filles qui sont tout aussi gentilles, accessibles , ,commerçantes sans forcément pousser à la consommation et amicales (on a bien rigolé avec la serveuse qui porte des lunettes de soleil sur sa tête).
Donc n’hésitez pas à venir découvrir cet endroit charmant et surtout avec le beau temps.
Milles mercis et mes amitiés
Jean-Marc et Séverine