THÉÂTRE DE L’ŒUVRE
En el corazón de la ciudad, una pequeña fachada estrecha esconde un bonito teatro a "la italiana" de 170 plazas, todas decoradas de rojo, de estilo barroco, uno de los teatros más antiguos y bellos de Marsella. Insólito en estas calles más bien abandonadas por la cultura durante varias décadas. En el origen, la sociedad "La paz", creada en 1930 por Bruno Barucca, es una asociación "Ley 1901", esencialmente humanista. Después de la guerra, se muda a la calle Mission-de-France, un antiguo edificio muy dañado por el incendio de las Nuevas Galerías. Crea, gracias, al trabajo y a la dedicación de sus miembros, un segundo teatro. Es el que hoy conocemos, inaugurado en 1965. En el programa: escenas abiertas, debates, cuentos de cuentos, conferencias sobre la actualidad ciudadana, obras de teatro iniciadas, prácticas de bailes y militantes variados durante todo el año. Un programa rico que encontrarás en temporada alta por temporada.
¿Lo sabías? Esta reseña ha sido escrita por nuestros autores profesionales.
Opiniones de los miembros sobre THÉÂTRE DE L’ŒUVRE
Las calificaciones y reseñas a continuación reflejan las opiniones subjetivas de los miembros y no la opinión de The Little Witty.
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Note (une étoile pour Ensemble Paname, l’autre pour ma survie)
Je suis venu pour un moment d’émotion musicale, j’ai eu droit à un escape game en enfer.
Déjà, on commence fort : traversée de la rue Tubano, ambiance Walking Dead, odeur de chimie artisanale dans l’air, quelques visions post-apocalyptiques… mais j’avance. Je me dis : ça ira mieux dedans. Grave erreur.
Je rentre dans le "théâtre". 40€ la place au 2ᵉ rang… pour finir au 4ᵉ, assis sur une chaise pliante entre les genoux de mon voisin et une femme devant moi avec une touffe capillaire façon haie d'honneur. Rien vu, sauf des mèches rebondissantes. Un mur végétal en plein concert.
La salle ? 30 m², 100 personnes, zéro air, température façon fonderie algérienne. Je m’attendais à des frissons musicaux, j’ai eu des gouttes qui coulaient dans mon dos comme un ruisseau de l’enfer.
Et pourtant… Ensemble Paname. Ces héros. En train de fondre sur scène, mais magistraux. À eux seuls, ils ont sauvé ce naufrage. Ferme les yeux, oublie les odeurs, la touffe, la sueur, les articulations coincées… et là, tu voles.
Mais j’vous le dis : Candlelight, c’est pas censé être un rite de purification par le feu. Là, c’était plus Jumanji version "piège thermique avec fond sonore".
Je le referai ? Oui, dans une vraie salle, sans la haie devant, et avec un extincteur sous le siège. Sinon, non merci.
Après avoir traversé la route des déjections et du crack (thubaneau c'était mieux avant) nous sommes arrivés au lieu dit.
Nous avons été entassés a l'arrache dans une salle minuscule non ventilée et non climatisée en plein mois de juillet.
J'avais payé le tarif le plus cher pour être devant et je me suis retrouvée au fond avec l'immense honneur d'être à côté de mon époux (beaucoup n'ont pas eu cette chance)
Mon conseil, allez voir Candlelight dans un endroit qui ne gâchera pas tout le charme de ce joli concert par la médiocrité de sa structure.