AUBERGE DU CHÊNE PASCAL
Restaurante con terraza en el corazón de la Haute Lande que ofrece ostras y productos de pato.
Estar en el corazón de la Haute Lande, pronto será más importante, cuando haya descubierto cerca de la iglesia la encantadora casa donde Laurent Lespes puso "sus maletas" o más bien su saber hacer hace unos años! El encanto de la naturaleza circundante seguirá operando en el interior: un poco de lado rústico, algunos muebles escogidos profesionalmente, pinturas coloridas, a veces ingenuas, objetos hermosos... ¿Y el plato? La local se llama "tchanquetta" porque está hecha de ostras y productos de pato. La placa Landaise sigue siendo un clásico verdaderamente excepcional. Dependiendo de la temporada, el conejo o la paloma estarán en el menú, para ser degustados más bien cerca de la chimenea. La gran sala se abre a una terraza sombreada con vistas a un prado; se siente bien y casi como en casa, una sensación rara en un restaurante. Seguramente también debe venir de la recepción.
¿Lo sabías? Esta reseña ha sido escrita por nuestros autores profesionales.
Opiniones de los miembros sobre AUBERGE DU CHÊNE PASCAL
Las calificaciones y reseñas a continuación reflejan las opiniones subjetivas de los miembros y no la opinión de The Little Witty.
C’est bon, c’est frais, c’est cool.
Il est tout seul, au four et au moulin.
Passionné, gentil.
Bref, arretez y vous, et apportez lui de la sympathie, il le mérite.
Merci pour ce moment l’ami
????
Merci pour votre accueil,on revient en septembre.
Et là, plantée au milieu des pins comme une embuscade bienveillante : L’Auberge du Chêne Pascal.
Terrasse à l’ombre, odeur de forêt, pas un bruit. On s’installe, confiants. Et là, badaboum, la cuisine s’ouvre comme un four en colère, et surgit le chef. Un personnage. Le genre d’homme qui a vu des guerres. il s’agite, il vit. Il est tout seul. Pas de commis, pas de plongeur. Juste lui, un tablier, et le feu sacré. Il cuisine avec les tripes, la rage et la tendresse d’un ours.
Il balance du son pour nous faire plaisir, il nous regarde avec la joie simple d’un homme qui aime voir des jeunes venus pour bien manger. Et il envoie. À son rythme.
Parce que oui, il faut le dire : c’est long.
Pas long façon "un peu d’attente", non. Long façon "t’as le temps de faire un bilan existentiel entre l’entrée et le plat".
Mais bon : quand tu vois le mec bosser, seul, à 200 à l’heure, tu peux pas lui en vouloir. C’est pas de la lenteur, c’est de l’artisanat.
Et puis quand le plat arrive… tout s’efface.
J’ai pris le confit de porc, sauce pêche, gratin pommes de terre/patates douces. Une caresse rustique. Le gras du porc fond comme un baiser d’adieu. La sauce est douce, fruitée, maîtrisée. On est entre la ferme et le paradis.
Le lieu ? Charmant.
Le chef ? Une légende.
La cuisine ? Authentique, généreuse, impeccable.
Le service ? Trop long. Mais t’es pas chez McDo, t’es chez un passionné.
Donc tu t'assoies, tu commandes, et tu respectes.
Parce qu’à Belhade, on cuisine encore comme on aime : avec les mains, le cœur, et un peu de gueulante.