BEC IMMOBILIER

L'agence nous a fait signer un contrat commençant le 16 du mois, or le 16 elle n'avait plus de place pour nous faire visiter (planning trop chargé) ou trop tard dans l'après-midi. Donc on a emmenagé et eu clefs et état des lieux le 19 . J'ai demandé à ce que le contrat début donc le 19 conformément à la loi définissant la jouissance lors de la remise des clefs, mais ils m'ont menacé que si je signais pas j'avais pas l'appartement. J'ai modifié la date sur le contrat. Ils ont alors demandé le lundi suivant au colocataire de refaire le contrat (pas valable à cause des ratures, alors que La Maison de la justice et du droit m'a dit qu'il était valable) en disant que c'était nous les fautifs pour le 16. Ils ont désolidarisé le colocataire en lui faisant peur de nous reprendre l'appartement. Sous pression du colocataire, j'ai dû resigner un autre contrat. Or sans clefs, sans jouissance des lieux on ne doit pas nous faire payer. Impossible de voir un responsable (la "direction est invisible" m'a-t-on dit). Ce n'est pas une question d'argent, mais de principe. Elle nous aussi demandé le chèque de septembre dès le 19 août, et j'ai dû envoyer quatre mails pour avoir le justificatif des charges.