Esta asociación al servicio de los territorios tiene por objeto sensibilizar al público sobre los temas de futuro que son el medio ambiente y el desarrollo sostenible. Sus locales están situados en el pequeño pueblo de Bonzée. Se organizan numerosas actividades para descubrir la naturaleza con el fin de comprenderla mejor y para todos los públicos: salidas en bosque, ciencias participativas, bautizo, creación de huertos, animaciones pedagógicas y lúdicas (seguido de las libélulas, descubrimiento nocturno de anfibios…), conferencias sobre todos los temas relacionados con el medio ambiente, descubrimiento de los medios acuáticos y forestales de la región. Se pueden reservar actividades personalizadas de ecoturismo durante el día o en estancia para grupos. En 2018: Jardín para todos, Libélulos de Mosa, Al descubrimiento de las orquídeas salvajes, la Noche internacional del murciélago…
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Opiniones de los miembros sobre CPIE WOEVRE - COTE DE MEUSE
Las calificaciones y reseñas a continuación reflejan las opiniones subjetivas de los miembros y no la opinión de The Little Witty.
Je crus trouver repos, au cœur d’un coin rustique.
Une auberge au toit bas, aux volets délabrés,
Se dressait là, fière, d’un passé oublié.
"Entrez donc, voyageur !" disaient les gens du Nord,
Leur haleine fauchait les roses à chaque bord.
Leur accueil, tout en bave, en relents et en bruit,
Me fit douter soudain du reste de la nuit.
La salle à manger, ô spectacle de l’horreur !
Chaque assiette offrait un festin de malheur :
Des cheveux en spirale, dressés dans les potages,
Comme si Méduse elle-même gérait les dressages.
Et dans la cuisine, un cirque en plein délire :
Araignées dodues, en train de faire le pire.
Elles grimpaient aux murs, descendaient sur les plats,
Comme si l’on servait leur toile au chocolat.
Mais le plus beau moment — et Dieu sait qu’il y en eut —
Fut quand ma chambre, soudain, devint un tombeau nu.
Je voulais sortir, hélas, quelle erreur grotesque :
La poignée céda, comme un sort burlesque.
Deux heures d’angoisse, dans un trou moisissant,
Sans lumière, sans air, et des draps menaçants.
Et quelle fut donc la compensation offerte ?
Un trésor rare : la poignée… toute verte.
Oui, ils me l’ont tendue, comme on tend une rose,
"Souvenir du séjour", dit l’hôtesse morose.
Pas un mot d’excuse, pas un regard humain,
Juste ce vestige rouillé, ce bout de rien.
Ô Meuse profonde, berceau de ma douleur,
Je maudis cette auberge et ses senteurs d’horreur.
Et si vous croisez un jour ces barbares en veston,
Fuyez ! Leur accueil sent le pet et le goudron.
A renouveler!