A dos pasos de la calle Mouffetard, una cafetería moderna como no se encuentra mucho en el barrio y, por lo tanto, muy frecuentada por la juventud de la esquina - la universidad de Censier no está muy lejos. Una decoración moderna y colorida, las paredes son de color naranja, amarillo y malva, con un pequeño toque arbolado colonial. Un bonito cinc, grandes ventanas y se ha ido para interminables ceros en un ambiente un poco bobo, un poco acogedor. El trato es a veces un poco luminoso, pero siempre agradable y los jóvenes estudiantes se hacen sonrisas encantadoras. La música sube a medida que la noche avanza, el estilo varía según los gustos de los barmen.
¿Lo sabías? Esta reseña ha sido escrita por nuestros autores profesionales.
Opiniones de los miembros sobre CAFE LEA
Las calificaciones y reseñas a continuación reflejan las opiniones subjetivas de los miembros y no la opinión de The Little Witty.
Je suis venue manger trois midis d’affilée, seule, pendant ma formation, et j’ai été accueillie à chaque fois avec un grand sourire et une vraie bienveillance. Le cadre est superbe, chaleureux, et l’ambiance très agréable.
Un grand bravo à l’équipe: serveuses et serveurs, incroyablement professionnels, réactifs et toujours souriants. Le service est ultra rapide, les plats sont délicieux, bien présentés, et les prix plus que raisonnables. Que demander de plus ?
Je recommande ce restaurant à 2000 %, les yeux fermés. Merci à toute l’équipe pour ces excellents moments. Au plaisir de revenir, sans aucun doute ! Et bon courage à toutes et à tous ????????
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L'Ode au Café Déchu et la Tyrannie de la Terrasse
Quelle ingéniosité que celle de l'établissement qui, tel un maître d'échecs impitoyable, a su orchestrer avec tant de brio mon expulsion de la terrasse convoitée. Moi, modeste buveur de café, j’ai eu le privilège insigne de comprendre la véritable valeur de cet espace sacré, là où les rois du déjeuner règnent en maîtres. On ne saurait trop applaudir cette démonstration éclatante de la logique commerciale : pourquoi diable un simple consommateur de boisson chaude oserait-il monopoliser un bien si précieux, destiné aux estomacs gargouillants et aux portefeuilles plus généreux ?
C'est une injustice flagrante, bien sûr, mais c'est aussi une mise en scène théâtrale digne des plus grands dramaturges. La serveuse, dans son rôle de gardienne des lieux, m’ a offert une masterclass en discrimination assumée. Mon humble tasse, à elle seule, a été jugée indigne de la splendeur de l'extérieur, tandis que le potentiel d'un repas complet brillait de mille feux aux yeux de l'établissement. C'est à se demander si l'on ne devrait pas, à l'avenir, afficher un tarif différencié : un prix pour le café en terrasse, et un autre, exorbitant, pour le privilège de simplement respirer l'air frais sans consommer de plat principal.
Ainsi, j’ai été relégué à l'intérieur, dans les limbes obscures de la salle, là où les simples mortels prennent leur café loin des regards et des tentations d'un repas. Quelle ironie délicieuse de se voir ainsi rappelé à l'ordre, pour avoir osé croire que le droit d'occuper une chaise en terrasse ne dépendait pas de la taille de sa commande. Mon café, si pur et innocent, s'est transformé en un symbole de mon infériorité consumériste, et mon déplacement, en une humiliation publique orchestrée avec une précision chirurgicale.
Ce bar-restaurant n'est donc pas un simple lieu de restauration, mais un véritable théâtre social où le client est constamment évalué, pesé, et jugé sur la valeur de son addition. Bravo à eux pour cette approche rafraîchissante de l'hospitalité, qui ne manquera pas de marquer les esprits et de rappeler à chacun sa place dans la grande chaîne alimentaire du commerce. N'oubliez pas, la prochaine fois, de venir affamé, et surtout, avec l'intention de vider votre portefeuille, car à ce prix-là, le droit de s'asseoir au soleil se mérite.
En tant que client habituel du lieu je me dois de m’incliner devant autant de prouesses.