Restaurantes La Clusaz

Fondé en 1936, Le Vieux Chalet a vu s'installer le premier téléski de La Clusaz. En 2007, l'ancienne ferme restaurant s'est refait une beauté, transformé en chalet chic pour une clientèle recherchant le confort haut de gamme dans un cadre authentique. On vient déjeuner d'une viande rôtie au feu de bois ou dîner d'un plat gastronomique dans la salle du restaurant, après un verre au comptoir de zinc du bistrot ou sur la banquette près de la cheminée. Mais aussi pour profiter de la terrasse lounge. C'est le restaurant d'altitude historique de La Clusaz !

A 5 minutes du centre, face aux pistes du Bossonnet, le Bistro des 2 Mules enchante les gourmands. Comment ne pas succomber au charme de ce bistro avec terrasses ouvertes sur le cadre champêtre des Aravis ? La décoration contemporaine marie avec chaleur le bois, les tissus de couleur et l'ardoise de pays et l'assiette est à la hauteur du lieu. Dressée avec art, une légère fumée libère ses effluves tandis que l'oeil est séduit par la composition mêlant les produits régionaux revisités avec talent. L'accueil et le service sont tout aussi soignés. Une réussite !

Au Coeur du Village est l'unique hôtel de luxe 5 étoiles de La Clusaz, son restaurant gastronomique le Cinq propose une cuisine de haut-vol aliiant simplicité et raffinement. A la manoeuvre, le chef Cédric Heurtebise -passé par de belles tables en France et à l'étranger- et le chef pâtissier Vincent Deforce) lui aussi passé par de grandes maisons- proposent une cuisine gastronomique de qualité, nous guidant naturellement vers des produits d'ici -l'omble chevalier, l'écrevisse...- mais aussi d'ailleurs avec un boeuf inspiré par un souvenir canadien ou une sole aux parfums normands. Une table haut de gamme -service et carte des vins à la hauteur- pour passer une douce soirée gourmande.

On découvre le bar-restaurant de la Piste Bleue à deux pas de l'arrivée du téléphérique, sur le plateau de Beauregard qui s'étend sur les trois communes de La Clusaz, Villard-sur-Thônes et Manigod. Cette auberge séduira plus d'un sportif ou d'un promeneur pour son emplacement au bout des pistes de ski de fond et raquettes, à travers forêts et alpages, sur la fameuse "piste bleue". Michel Masson y propose chaque jour, en saison, des plats du jour frais, cuisinés sur place (même les desserts). Des plats de brasserie généreux servis en toute simplicité, dans une formule en libre service pour permettre d'absorber rapidement l'affluence des vacanciers en haute saison. Une ambiance familiale et un service efficace que l'on apprécie après les efforts sur les pistes. Choucroute, steak sauce au poivre, tartiflette, omelette aux oignons et lardons, que l'on dévore avec plaisir sur la terrasse ensoleillée. Les affamés et gourmands succomberont aux desserts de la maison : île flottante, mousse au chocolat, tarte du jour... même les meringues qui accompagnent le café sont réalisées sur place. Un bon rapport qualité-prix sur les pistes du col de la Croix Fry !

La vue sur la chaîne du Mont-Blanc depuis la terrasse est magnifique ! On perçoit en enfilade, le mont Blanc au premier plan, puis successivement le Dôme du Goûter, l'aiguille du Midi et l'aiguille Verte, reconnaissables dès que l'amas de nuages a quitté les sommets. A 1 485 mètres d'altitude, le superbe chalet des Rhodos, rénové en 2014, a une situation idéale pour une jolie halte au cours d'un périple entre Haute-Savoie et Savoie sur la route des Grandes Alpes (fréquentée par les cyclistes et les motards en été), ou simplement une excursion depuis les stations de La Clusaz et de La Croix-Fry en dix minutes par la route. L'hiver, les équipements sont obligatoires. Dans un décor design, de bon goût, une ambiance montagne chic qui se marie parfaitement à la rusticité de la charpente traditionnelle savoyarde, on se restaure de spécialités traditionnelles mais aussi de plats de brasserie revisités : terrine de queue de boeuf au foie gras, poitrine de cochon confite, faux filet de boeuf au lard colonata,... pour clore par un financier aux myrtilles ou un délicat Pavlova. Indiqués sur la carte, du bio et des propositions basses calories : gaspacho de soupe d'ortie à la féra fumée et à la tomme, pissaladière de légumes de saison ou pâtes végétariennes. Stéphane, le propriétaire, et son équipe feront tout pour que l'on soit satisfait - si on a oublié ses lunettes de soleil ou de vue, pas de panique, ils nous prêteront des accessoires adaptés, et en cas de fraîcheur excessive, un plaid. A moins que l'on ne préfère se réfugier dans l'espace cocooning près de la cheminée. On en profite aussi pour réserver une des chambres d'hôtes thématiques (musique, cheyennes, voyage, sport, montagne), contemporaines, pour un séjour en famille ou en couple. Surprenant ! Une adresse à la décoration soignée qui mérite un détour.

Prendre un peu d'altitude dans la vallée des Confins et trouver le soleil est très agréable en toute saison... Et la terrasse de L'Endryre est unique ! La vue sur le lac et les montagnes du massif des Aravis (la pointe Percée et même la Tournette au loin) en font une salle de spectacle à ciel ouvert. On peut observer avec ses jumelles, en hiver, les "free riders" qui s'aventurent dans des couloirs improbables... La table régionale est soignée et l'accueil est chaleureux et attentionné. Les tables espacées nous permettent d'être bien vite à notre aise. On profite des formules du jour pour caler une petite faim après la randonnée : l'assiette est généreuse. Le croustillant de reblochon est fondant, parfumé, et sa salade verte, craquante sous la dent. Et bien sûr, des plats savoyards sur la carte : diots au vin blanc accompagnés de sa polenta, tartiflette et salade verte, fondue... Quelle que soit la formule choisie, le fromage est obligatoire pour les gourmands. Une assiette de reblochon fermier et de tomme de Savoie, et une pâtisserie maison aux myrtilles... Bref, on succombe !

Un restaurant pub où l'on mange et l'on boit divinement bien ! Située en bas du village, cette Grolle tient un emplacement idéal en été, avec une terrasse en surplomb d'un torrent rafraîchissant. Galettes et crêpes après la journée de ski, et carte des vins sympathique. On s'arrête un instant au pub pour prendre un apéro bien mérité après les activités nature de la demi-journée, puis on passe à table dans un cadre charmant - tout de boiseries blondes - typé " montagne " des plus élégants. Pour un repas conséquent, on apprécie la qualité des produits. Un bon reblochon fermier (pastille verte) pour composer d'excellentes salades-repas, généreuses et pleines de saveurs ou, une soupe, une omelette savoyarde, un saumon fumé pour commencer. On enchaîne avec des spécialités fromagères ou des plats plus traditionnels : gratin de Saint-Jacques et moules aux tagliatelles, tête de veau, côte de boeuf à la moelle pour deux, tartare du chef... Le service est efficace et souriant, et surtout l'ambiance est conviviale. On succombe au rituel de la grolle savoyarde - en bois creusé, de forme ronde, avec couvercle et becs verseurs pour partager l'eau de vie des Aravis. Une adresse qu'apprécient les habitués.

On se croirait dans la salle à manger du chalet familial ! Un charmant décor de bois et des tissus grège rehaussés d'élégants motifs savoyards rouge, un authentique vaisselier, d'intimes lampes de table, des fleurs sur un guéridon... L'atmosphère est paisible et propice à la dégustation des plats du chef cuisinier Laurent Dubois, originaire des Aravis. Laurent et l'ancienne maître d'hôtel Aline - ils ont tous deux fait leurs classes chez Marc Veyrat - ont repris le discret restaurant du passage du Mont-Blanc en 2015. Après 10 ans passés auprès du Meilleur Ouvrier de France Claude Legras, doublement étoilé en Suisse, Laurent réalise aujourd'hui une cuisine de caractère toute en finesse : émincé de tourteau et concassé de pistache, concombre menthe et chartreuse ; filet mignon de veau cuit à basse température, jus au parfum d'épicéa, carottes fanes, chanterelles poêlées et livèche ; framboise et pousses d'agastache sur un terreau chocolaté et crémeux de persil plat... Des plantes des Aravis et des associations subtiles. Une cuisine française aux accents de montagne, teintée d'exotisme ! Les spécialités régionales sont, bien sûr, également à la carte.

Plus accessible que le restaurant gastronomique Le Cinq mais pas à la portée de toutes les bourses, Le Coeur bénéficie du cadre luxueux de l'hôtel Au Coeur du Village, facile à repérer ; on laisse sa voiture à l'extérieur du village, car l'accès jusqu'à l'hôtel est compliqué pour les non-résidents. Dans un décor contemporain soigné, une salle paisible pour apprécier la cuisine raffinée du chef prometteur, Cédric Heurtebise. Des plats qui osent les associations déroutantes aux accents régionaux comme ce foie gras de canard que vient réveiller l'amertume d'un chutney de pommes au génépi, ce dos de cabillaud sublimé d'une nage à la citronnelle rafraîchissante ou ce poulet fermier farci de champignons qu'accompagne une polenta crémeuse au goût suave de bleu de Termignon. Des cuissons justes et des assaisonnements maîtrisés. A découvrir !

Nouveau propriétaire - le même que celui de l'Ecluse, à quelque pas - pour ce bar restaurant le Bonnet d'Ane, devenu Le Grenier.

Un nouveau concept de brasserie mi-savoyarde, mi-italienne à La Clusaz. Séverine et David nous présentent un établissement dans l'esprit de La Clusaz, ce village qui ne cesse de bouger. Sur la terrasse ensoleillée, ou bien à l'abri dans la chaleureuse salle, on dîne selon ses envies : spécialités savoyardes, pizzas, pâtes, bruschetta... Mais aussi une cuisine de produits frais plus inventive et plus raffinée, que le nouveau chef nous incite à découvrir. Des plats créatifs, à la présentation soignée et aux saveurs inattendues, mariant Italie et exotisme : salade César revisitée, sushis italiens du chef en mozzarella et mangue au coulis d'avocat infusé au thé vert matcha et menthe, risotto blanc et noir aux calamars et beurre blanc monté à la citronnelle, souris d'agneau braisée et carottes au ras el hanout avec polenta aux herbes italiennes et pétales de rose, jus d'agneau au romarin... Les desserts aux noms évocateurs touchent notre corde sensible : "Recomposition d'un petit Lu de mon enfance" (noix de pécan caramélisées, nacré de Nutella, framboises sautées au wok), "Mon muffin Blueberry" et son coeur de chocolat blanc coulant. La température monte, mais la soirée ne fait que commencer...

Un chalet d'altitude (1900 m) qui nous offre l'une des plus grandes terrasses de la station, bien exposée pour le farniente, mais encore une cuisine qui plaît. Accès obligatoire par télésièges et par les pistes, quelques efforts largement récompensés par un accueil sympathique, une vue imprenable, une salle typiquement montagnarde et une bonne cuisine familiale et traditionnelle. À midi, les plats sont choisis et emportés en self-service pour plus de rapidité, ou même sans déchausser, en choisissant la formule snack avec buffet d'entrée et de solides plats savoyards. En fin d'après-midi, ne pas manquer les "Après-m' au soleil", avec DJ, vue panoramique et pain perdu offert avec la consommation. Lors des soirées organisées les mercredis et jeudis, on viendra vous chercher à votre hôtel en minibus puis le trajet se fera sur les pistes en dameuse. Un grand moment dans le silence et la nuit, souvent étoilée. Près de la cheminée, on déguste le wok de Saint-Jacques et gambas, le magret de canard ou le foie gras... Autre atout de cette adresse, la carte des vins est établie avec à-propos, par un sommelier connaisseur. Pour une pause conviviale et festive, ou une soirée insolite.