Visitas – Puntos de interés L'Isle-Jourdain
Visitas – Puntos de interés L'Isle-Jourdain : 9 resultados
VISITE GUIDÉE DU CENTRE-VILLE
leer másEn été, l'office de tourisme vous attend de pied ferme chaque jeudi après-midi à partir de 17h, en bordure de lac. Un guide vous fera arpenter les voies, ruelles et places du centre-ville lislois afin de vous faire découvrir le nec plus ultra de leur histoire. Ses récits feront vibrer l'esprit des touristes, mais il n'est pas rare non plus de croiser lors de ces visites guidées... des Lislois se délectant à l'idée de découvrir ou redécouvrir leur patrimoine. Vous serez incollable sur l'histoire locale, ses batailles mérovingiennes, les croisades de ses seigneurs, ou encore les allées et venues d'Henri IV et Louis XIV ! Pour la période plus récente, la maison Claude-Augé et l'épopée du Larousse rappelleront des souvenirs d'école primaire...
MUSÉE EUROPÉEN D'ART CAMPANAIRE
Si visita l'Isle-Jourdain sin detenerse en su museo de campanas, se ...leer más
OFFICE DE TOURISME GASCOGNE TOULOUSAINE
Oficina dedicada a Gascone Toulousaine, para informarse sobre las ...leer más
COLLÉGIALE SAINT-MARTIN
leer másLa collégiale de l'Isle-Jourdain a connu une histoire turbulente à travers les siècles. Le premier bâtiment du site était un prieuré attesté dès 1177. Érigée en collégiale en 1318 par le pape Jean XXII, l'église héberge un chapitre de 12 chanoines répondant à l'autorité d'un doyen. L'église est détruite en 1580 par les protestants venus avec Henri IV occuper la ville. Une nouvelle église est construite dont ne demeure que la tour à l'heure actuelle. Elle servait de tour de guet en raison de sa hauteur. Cela n'empêche pas Georges du Bourg, le gouverneur de l'Isle-Jourdain, d'envoyer ses hommes raser la nouvelle église en 1585. Après la promulgation de l'édit de Nantes en 1598, le chapitre fait construire une collégiale provisoire qui devient interdite au culte en 1779, car jugée trop dangereuse. Une quatrième version est construite sur le même site entre 1779 et 1785 dans un style néo-classique et sur les plans de l'architecte toulousain Arnaud Raymond. Le financement se fait en lançant une cagnotte à laquelle participent l'archevêque de Toulouse et le roi Louis XIV en personne. La Révolution française met un coup d'arrêt à l'aménagement de la collégiale. Il faut attendre 1820 pour que celle-ci reçoive ses ornements intérieurs et son mobilier. La collégiale présente la particularité assez rare de ne pas posséder de clocher. Elle se présente sous la forme d'une croix gréco-latine à nef unique. Le choeur et la nef possèdent peu ou prou les mêmes dimensions, offrant à l'édifice une harmonie plaisante.
ASINERIE D'EMBAZAC
La Asinerie d'Embazac ofrece una visita a la granja y asistencia en el ...leer más
MAISON CLAUDE-AUGÉ
Una casa que marca el orgullo de los habitantes de Lislois por el destino ...leer más